Conversing With the Minority: Relations Among Christian, Jewish and Muslim Women in the High Middle Ages
- Monica H. Green .
- Daniel Lord Smail
- Department of History, Box 874302, Arizona State University, Tempe, AZ 85287-4302 USA
- History Department, Harvard University, Robinson Hall, 35 Quincy Street, Cambridge, MA 02138, USA
Available online 16 May 2008.
Abstract
In 1403, a Jewish midwife, Floreta, widow of Aquinon d’Ays, was brought before the criminal court of Marseille to answer for the death in childbirth of a Christian woman. Floreta was charged with having performed a procedure that precipitated the patient’s haemorrhaging and death. This is the first known case of a malpractice trial against a midwife and an unusual case of anti-Judaic sentiment in a city hitherto quite tolerant of its Jewish minority population. Aside from Floreta’s statements in her own defence, all the recorded testimony comes from Christian women who were present in the birthroom, giving us a rare glimpse inside that female preserve. Although the final outcome of the case is not known, Floreta vigorously appealed the ruling that she be tortured to elicit a confession. This essay presents an edition and translation of a portion of the trial record, setting it into the context of Marseille legal procedure, obstetrical knowledge of the time, and changes in anti-Judaic sentiment in early fifteenth-century Marseille.
Keywords
- Criminal trials
- Jewish-Christian relations
- Marseille
- Medical malpractice
- Midwives
- Obstetrics
Vitae
Monica H. Green is Professor of History at Arizona State University, where she is affiliated with the programme in Women’s and Gender Studies.
She is the editor of The ‘Trotula’. A medieval compendium of women’s medicine. and author of Women’s healthcare in the medieval west. Texts and contexts. and Making women’s medicine masculine. The rise of male authority in premodern gynaecology .
Daniel Lord Smail is Professor of History at Harvard University. He is the author of, among other works, Imaginary cartographies. Possession and identity in late medieval Marseille, and The Consumption of justice. Emotions, publicity and legal culture in Marseille, 1264–1423.
Corresponding author. Department of History, Box 874302, Arizona State University, Tempe, AZ 85287-4302 USA.
2008 Elsevier Ltd. All rights reserved.
Citing articles ( )
’un enfant né sous X Veut se mettre à la recherche de son histoire et de ses origines gétiques, qu’a-t-il a sa disposition pour l’aider à entreprendre se projet.
1) Loi de 2002. institutionnaliser pour faciliter l’accès aux origines.
Cette loi cherche à facilité l’accès aux origines personnelles et elle créé pour cela un Conseil national pour l’accès aux origines personnelles (CNAOP).
Sa première mission s’adresse aux enfants adoptés ou pupilles de l’Etat qui sont à la recherche de leurs origines. le CNAOP joue un rôle de médiateur entre l’enfant et la mère biologique. Mais c’est aussi l’instance à laquelle s’adresser dans les cas où les parents de naissance souhaiteraient lever le secret sur leur identité ou bien déclarer leur identité s’ils ne l’avaient pas fait.
Des proches des parents peuvent aussi adresser une déclaration d’identité au CNOAP.
Pour le reste, ce Conseil doit assurer l’information auprès des départements qui le relayeront aux établissements de santé, à l’ASE et aux Organismes autorisés par l’adoption. Ces informations concernent notamment les modalités d’accueil et d’accompagnement des femmes demandant le secret de l’accouchement, qui doivent être prise en charge gratuitement par l’établissement de santé dans elles sont admises, sans qu’aucune pièce d’identité ne lui soit demandée. Elles doivent aussi être informées sur les toutes aides publiques qui peuvent être délivrées aux parents pour leur permettre d’élever leurs enfants. Puis, elles doivent être renseignées sur le régime des tutelles des pupilles de l’Etat, et enfin sur leur droit de rétractation et le délai dans lequel il s’inscrit.
Concernant l’abandon proprement dit, la femme doit être informée sur les possibilités qu’elle a concernant la délivrance d’information. Tous les renseignements qu’elle pourra donner concernant l’identité des deux parents, leur santé, de leurs origines ou encore sur les circonstances de la naissance de l’enfant, seront conservé sous pli fermé par le
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conseil général. Ce pli pourra à tout moment être transmis au CNAOP. Ces renseignements ne pourront être de délivrés que sur requête de l’enfant et avec l’accord de la mère.
Le CNOAP est donc un dispositif qui permet à toutes les parties, parents et enfants, d’avoir un interlocuteur. Il est néanmoins nécessaire de rappeler que le secret de l’accouchement reste suprême. Le CNOAP ne peut en aucun s’accorder le droit de le lever sans l’accord expresse du parent, sauf en cas de décès de celui-ci et qui n’aurait pas donné de directives sur sa volonté de ne pas lever le secret.
La mère a beaucoup de droit en ce qui concerne l’accouchement sous X. La révélation de l’identité du père dépendant essentiellement de la mère, le législateur a cherché à faire évoluer le droit.
2) La recherche d’égalité des sexes dans la parentalité.
La filiation est importante, puisqu’elle donne une place à l’individu dans une famille et lui confère des droits en matière d’héritage patrimoniaux.
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